« La défense n'étant pas l'attaque elle est toujours commandée par la sauvegarde de l'intégrité, elle ne peut être disproportiopnnée, la défense deviendrait alors agression et/ou attaque ».

Comme le dit ce traité, devant une atteinte injustifiée, toute agression est injustifiée. Ceci nous paraît participer à la réflexion sur la médiation et ce qu'elle peut apporter aux personnes, par la découverte ou re-découverte de la nécessité de prvilégier l'intérêt général, de se positionner sur celui-ci, pour défendre son intérêt personnel. Le second étant toujours inclus dans le premier.

Dépot légal 27 avril 2007 - Editeur G.R.I.S. Siret 403 317 431 00027 - Autoproduction - Tirage limité - Copyright Homme sur Titre, Ouvrage et Photo

Extraits de « Droits fondamentaux de propriété et autres textes » de Homme

Homme intervient dans les débats publics pour dénoncer le régime et prôner un système démocratique aussi bien, dans les partis politiques, PS, Anti Libéraux, UMP, Verts, UDF, Anarchistes et autres, que dans des réunions publiques dans des domaines aussi bien scientifiques que littéraires.

Souvent censuré, menacé ou agressé, il ne désespère pas de faire entendre sa voix et continue de participer aux élections, aux débats démocratiques et d’expressions publiques.

« Du vrai et du faux Faut- il penser que les mots et qualités aient toujours des contraires ou que certaines notions étant uniques ne se sont que conformées à une règle des contraires.Si nous partons du faux c'est bien quelque chose qui n'existe pas, on ne pouvait pas nommer ce qui n'existait pas donc le faux est bien venu après le vrai, tout au moins dans le langage, à moins que celui-ci ne l'ait inventé. On me dira que si le faux existe il a dû exister, même, et aussi avant le langage et que les contraires existent en « couple ».

L'un ne pouvant aller sans l’autre.Le Faux n'est vrai que si le vrai est. Mais le vrai n'existe pourtant pas en fonction du faux, mais bien en fonction du réel ou réalité. Non? C'est ce que nous constatons, (sans parti pris, sans intérêt personnel), qui est vrai, autant que nous ayons les moyens et informations de connaître /de savoir ce qui s'est passé, ce qui est ou sera (événement passé, présent, futur). Nous prenons événement X ce qui se passe entre Z et A et réalité tout ce qu’il y a autour de chacun, Z puis autour de A. » 

« Souveraineté et Etat Peu m’importe d’agrandir l’Etat où je réside si ma souveraineté n’en est point affectée. Que l’on divise l’Etat en autant de personne et autant de pouvoir de décision et que l’on soit 10 ou 100 ou 10 millions je serais satisfait d’avoir, et de pouvoir dire mon opinion quelle qu’elle soit.

Donc ce n’est pas tant le fait d’agrandir un état, puisqu’il faut seulement augmenter le quotient et l’échange en est égal. Je m’aliène en autant, (de personne en l’état) mais je gagne en autant (de personne en l’état). Le seul problème est de garder son pouvoir de décision dans l’état, sinon le contrat social est brisé et n’existe plus comme tel.

Puisque c’est la capacité à agir pour notre conservation et notre bien qui est à la base de notre réunion en l’état et société. Il faut donc, pour pouvoir décider tout simplement « ce qu’il faut faire », de pouvoir, avoir, tous, chacun la possibilité et le droit, de faire valoir, de dire et d’influer comme un égal à tous de ce que je veux dire ou faire pour tous.

On pourra me dire que cela ne marche que si on réunit les personnes dans une même place; je répondrais que je ne sais pas.

Si on parle de moyens techniques, je pense que la technique n’a jamais été un réel problème puisque c’est la volonté qui permet de faire ce que nous voulons. Donc même si nous ne le pouvons pas (physiquement, techniquement) nous pouvons le vouloir quand même et cela est. » 

Vous pouvez commander directement cet ouvrage auprès de G.R.I.S  (boite 80) 52 bd de Strasbourg 34080 Montpellier - ISBN 978-2-9529801-7-4 -

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