|
L'assimilation à la communauté française d'un parent suppose que ce parent respecte le principe d'égalité entre les hommes et les femmes.
Il n'y a donc aucun parent dominant vis à vis de l'enfant commun et tous les mères et les pères savent cela par cœur s'ils sont tous les deux de nationalité française.
Quant aux tiers à la famille, personnes ou institutions, aussi de nationalité française, ils et elles agissent avec rigueur pour faire respecter ce principe d'égalité, tant dans les rapports éducatifs qu'affectifs et moraux de chacun des deux parents avec leur enfant.
Égalité recherchée par tous les français et les françaises, en particulier dans le partage des responsabilités parentales et des prérogatives liées à l'autorité parentale conjointe, avec finalité de mettre en place le modèle d'équilibre le plus approprié à chacune des situations familiales étudiée sans que personne ne mette aucun obstacle ou inertie quelconque, même imaginaires ou fictifs, pour parvenir à cet équilibre parental.
Tous les tiers à nos familles s'accordent naturellement à inciter, à conseiller et à rappeler très régulièrement, chacun des deux parents à entreprendre travail personnel et démarches diverses en ce sens.
En conséquence, un parent qui demande le recours à la médiation familiale pour élaborer par le dialogue ouvert avec l'autre parent un accord, ayant pour objectif de se rapprocher au maximum de l'application de ce principe français d'égalité entre femmes et hommes, est certain d'obtenir soutien sans faille, écoute attentive et gain de cause, dans l'intérêt de l'enfant commun.
Jag - Juin 2010 |