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Résidence alternée - par Centre PEM le 24/08/2009 @ 16:01

L'Association SOS les MAMANS – www.soslesmamans.com a mis en circulation une pétition http://4045.lapetition.be/ titrée "Non à l'imposition de la Résidence Alternée par défaut". 

Il est précisé dans l'introduction : "Sous une première « pression » des associations de défense des droits des pères séparés, la loi du 04 mars 2002 autorise le Juge aux affaires familiales à imposer la résidence de l’enfant en alternance au domicile de l’un, puis au domicile de l’autre. "

Ceci est faux. Quelques associations dites de "défense des droits des pères séparés" peuvent se reconnaître dans cette affirmation. Mais pas toutes les associations de pères.

Il est peut-être juste de parler de celles qui défendent "les droits des pères", mais juridiquement parlant, de "droits des pères", il n'y en a aucun. 

Dire que "des associations" ont fait "pression", "première pression", jouant sur l'image que l'on connaît toutes et tous de l'huile d'olive "première pression à froid" si l'on veut, est peut-être vrai, mais il s'agirait de dire précisément lesquelles ou laquelle.

Ce serait la moindre des corrections pour éviter les amalgames avec des associations qui ne défendent aucun " droit des pères", mais soutiennent la parentalité paternelle qui se trouve souvent mise en porte-à-faux et en risque socio-judiciairement. A moins d'être de très mauvaise foi, personne ne peut ici le contester.

Pour ce qui concerne la loi dite "Loi Royal", il se trouve que quelques associations, dites "de pères", avaient réagi dès son entrée en projet. Mais le gigantisme de la publicité éléctoraliste de Madame Ségolène Royal a étouffé toutes les réactions qui pouvaient vouloir mettre un bémol dans ce projet de loi.

Cette loi est passée, elle a été votée, mais comme beaucoup d'autres, elle n'a utilisé qu'une petite partie des apports qui pouvaient être effectués par des associations qui agissent depuis plus de vingt années sur l'évolution des politiques dites familiales.

Nous avons attendu jusqu'à aujourd'hui pour dénoncer cette loi scélarate, qui a été très bien faite pour ménager autant les susceptibilités de celles ou ceux qui était pour, que celles ou ceux qui étaient contre.

Mais qui était vraiment pour, et qui était vraiment contre ?

Cette loi fait des cadeaux à tout  le monde des adultes qui se réunissent autour de la table sur laquelle on parle beaucoup et très gentiment des enfants. Elle ne fait pas de réel cadeau au premier intéressé à la chose : l'enfant y est, comme toujours dans les discussions d'adultes, oublié. Il joue dans la piscine ou mange une glace pendant que les adultes parlent sérieusement de lui.

Ce n'est pas la première fois en France, qu'une loi supposée parler de l'enfant, l'oublie. La loi Naquet sur le divorce contentieux de 1884, en exemple. La loi sur le divorce en consentement mutuel de 1975 en deuxième exemple. Et ainsi de suite.

L'enfant trouve très mal sa place dans les discussions entre adultes qui veulent ou non du divorce, qui veulent ou non sa résidence, partager celle-ci ou pas.

Et dans la loi de 2002 l'enfant ne trouve pas plus sa place qu'il ne la trouve dans la loi de 2005.  Demain,  il faudra encore tout repenser et tout refaire. Nos enfants, étudiants, universitaires, ou professionnels déjà, y travaillent, tant qu'ils ne sont pas mis en risques d'être détruits par des nouvelles guerres ou de puissants holocaustes.

Si on a la posssibilité encore de la composer, essayons d'avoir une loi que tout le monde puisse accueillir favorablement. Les suggestions ne manquent pas sur ce sujet.

A lire SOS les mamans, puis à lire SOS papa, nous nous éduquons toutes et tous relativement mal les uns les autres sur ce qu'il convient de croire ou de ne pas croire utile et bénéfique à l'enfant !

Un forum a été ouvert par SOS Enfants du divorce. Nos enfants devenus adolescents et adultes nous y répondent, participent, avec le Forum du site Enfants.

C'est peut-être par la pensée et les idées de celles et ceux qui ont eu à subir le divorce, la séparation de leurs parents, que la société saura mieux construire ses lois et valider ses pratiques en faveur de la parentalité et de l'enfance.

Nous citerons une phrase souvent prononcée dans la pratique de la médiation : "Cessons de vouloir être papa je sais tout, ou maman je fais tout... Essayons de rester humblement deux parents pour éduquer nos enfants dans l'apprentissage constant du meilleur, et la lutte éternelle contre le pire".

Nous nous lancerons dans la philosophie, en lisant ceci :

"Le citoyen doit devenir philosophe pour que la philosophie se réalise dans l’activité politique, dans une position active par rapport à la totalité sociale, engagement dans une histoire, où l’enjeu n’est pas tellement tel résultat immédiat, l’enjeu est bien cognitif, métaphysique, éthique, esthétique même, c’est notre rapport au futur, le sens que nous voulons donner à l’aventure humaine et à notre existence par notre action, c’est donner forme à l’avenir par notre attitude qui est le seul garant qu’il y aura toujours d’autres hommes pour réagir contre la barbarie triomphante… même si, devant la somme cumulée de nos échecs et de nos renoncements, il y a bien parfois de quoi rire de nos rêves !"

http://www.infologisme.com/fr/article.php?AIndex=54 

 








Dans la mouvance de SOS Enfants du divorce.


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