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actif Sujet n° 8  Témoignage sur une histoire familiale réelle

le 16/12/2008 @ 22:19
par Gilles

Anonyme

1 message

Témoignage sur une histoire familiale réelle

Dans un service médical, une employée disait vouloir soigner sa souffrance, ses douloureuses crises de nerfs et ses effondrements émotionnels qui survenaient chez elle quand elle pensait à un petit enfant qu'elle suivait professionnellement en soins palliatifs. 

Son compagnon la soutenait. Il n'était qu'attentions et tendresse pour elle. Il l'encourageait à participer chaque semaine à des séances de "régulation" qui étaient organisées dans l'établissement par une association d'aide au personnel soignant.  Il l'encourageait également à aller dans une voie de soutien psychologique.

Elle n'a jamais révélé quel psy... elle avait consulté. Ni l'association de régulation, ni le psy... n'ont jamais pensé à contacter le compagnon pour ce suivi ... médical (?). Il portait alors une longue lettre à l'association pour expliquer les effondrements émotionnels et les crises de nerfs de sa compagne dans la maison. Personne n'a jamais expliqué quels étaient les soins prévus pour elle. En raison, peut-être, d'un secret professionnel imposé par l'établissement ?(...)

Effrayée de temps en temps par ses propres comportements nerveux contre son compagnon, père avec elle de quatre enfants, elle alla cliquer sur internet pour lire : "partez avant que quelque chose de grave ne vous arrive. Visiblement vous avez accès à internet. Profitez en pour voir quelles sont les associations qui prennent en charge les femmes battues. Adresses utiles ... http://fr.answers.yahoo.com/question/in … 737AAXlf63

Ce qui donna l'idée à la compagne de consulter une assistante sociale, qui l'orienta vers une supérieure travaillant dans les locaux de notre Police nationale. Aucune des deux assistantes sociales ne fit le moindre travail d'approche préalable des deux conjoints et de cette famille. Aucune ne prit de précaution avec une femme visiblement fatiguée mais qui n'expliquaiet pas sa souffrance clairement.

Au prétexte qu'une femme qui se tait est une femme victime de violences conjugales, elles lui conseillèrent de rédiger trois plaintes par prévention et pour se débarasser de son conjoint dont elles craignaient qu'il devienne lui aussi nerveux et violent. Car elles entendirent qu'au cours d'une crise de nerfs, elle lui avait donné des coups de pieds.  Ainsi elles eurent à traiter dans le même temps, une ébauche de plainte pour tentative de viol, une dénonce pour harcèlements, une plainte pour violences conjugales.

La compagne expliqua pendant quelques jours, à son conjoint qui ne savait pas qu'elle était allée voir la Police, qu'elle avait peur, qu'elle voulait se protéger et qu'elle voulait justement qu'aucune violente dispute n'arrive jamais dans leur couple. Elle ne voulait pas se retrouver "un matin sur un brancard ni finir sa vie sur une chaise roulante".

Ces trois plaintes pénales provoquèrent l'intervention de notre Police nationale à leur domicile familial un dimanche après-midi. Le substitut de La République française, monsieur Patrick K. , qui traitait ce dossier, avait donné ordre de faire chercher le compagnon et de le placer en garde à vue de haute sécurité. Probablement était-il persuadé de violences conjugales à faire cesser, à la lecture d'un rapport de l'assistante sociale de la Police.

Après vingt quatre heures de garde à vue en cellule de haute sécurité, ce qui le fit souffrir physiquement et moralement, au-delà de tous les possibles, l'accusé (de taper sa femme et de terroriser ses enfants) fut transféré sous garde renforcée en camion blindé, jusqu'à la comparution devant le substitut qui redoutait fort d'avoir à faire à un monstre aviné qui détruisait la mère de ses enfants. Sept heures d'attentes, menotté dans un isoloir, avant l'audience du tribunal correctionnelle qui eut lieu le soir même, pour la confrontation "entre conjoints" et l'examen des pièces d'accusations. Au début de cette audience, sans connaître le dossier, l'accusé accepta devant tous les magistrats, de se dispenser de défense juridique et d'être jugé immédiatement.

Pendant l'audience qui dura près d'une heure et demie, la compagne avoua spontanément et subitement avoir donné des coups de pieds très violents à son compagnon... lors d'une crise de nerfs.... en affirmant qu'elle avait pris peur de lui...Le Président du tribunal correctionnel demanda alors à l'accusé : "Mais pourquoi ce n'est pas vous qui avez porté plainte ? Vous auriez pu."

Reconnaissant qu'aucune des trois plaintes de la compagne n'était fondée ni étayée, prononçant la relaxe après délibéré, les dispositions de la loi de 2006 obligèrent les magistrats à condamner l'accusé, par prévention, "pour le surplus", à une peine de quatre mois de prison, assortie du sursis et d'une mise à l'épreuve de deux ans.

Le substitut de la République Française, Monsieur Patrick K., avait demandé dans son réquisitoire au titre du Ministère Public, l'incarcération, en supposant de surcroît, et même en imaginant des violences dites symboliques, qui selon lui justifiait les coups de pieds reçus, ou la peur exprimée de la compagne.

Aucun des acteurs judiciaires et sociaux n'était pourtant totalement ignorant du deuil douloureux d'enfant que vivait la compagne dans son contexte professionnel, puisque dans ses déclarations faites aux O.P.J. lors de la garde à vue, l'accusé avait déclaré :  " ... ma compagne fait des crises de nerfs assez violentes, elle me frappe depuis qu'elle a perdu un petit enfant dans l'établissement où elle s'occupe des bébés sous soins palliatifs, elle est suivie médicalement mais je ne sais pas par qui ni comment...".

Dans la force de sa décision, en sus d'une condamnation avec sursis, le tribunal demanda à l'accusé de ne plus jamais remettre les pieds dans son domicile familial, et de se trouver, le soir même et dès sa sortie du palais de justice par la grande porte, une autre habitation... un autre lieu de vie... de laisser les enfants à leur mère...

"Allez-vous en ! Quittez cette femme qui vous frappe ! Partez et laissez là tranquille... C'est ce qu'elle vous demande... Partez...! Ne pensez plus retourner vivre avec elle ! Reconnaissez que votre couple est terminé et qu'il vous faudra vous tenir à distance de la vie de cette femme !"

Depuis, le compagnon vit seul.

Commentaires :

Peut-on penser que cette loi de 2006 serait intelligente, absurde, mal utilisée, faite pour protéger les êtres humains des deux sexes et des deux genres, ou orientée par des féminolâtres et des féminocrâtes pour en réalité évincer les hommes et les pères et les priver de toute possibilité de vivre en famille ?

Cette loi oblige les magistrats à procéder à une condamnation pénale, pour le surplus, de l'accusé, même si aucun fait de violence d'aucune sorte n'est reconnue de son fait.

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